EVENT Des bois bien trop grand...

Tari n’avait cessée de réfléchir ou elle pourrait trouver cette maudite pierre que personne n’avait vu jusqu’à maintenant. A ses yeux s’étaient comme chercher une aiguille dans les crottins de dragons ou il y avait de nombreux os. Finalement, elle avait décidée d’aller dans un endroit qu’elle connaissait comme sa poche pour éviter de tourner en rond ou même de ce perdre ce qui n’aurait qu’humiliant pour un des nouveaux chevaliers de l’empire. L’hybride ne préférait même pas imaginer la punition pour un tel acte. Ils devaient faire honneur à Irianeth pas le contraire. Elle s’enfonçait dans cette forêt ou les bruits nocturnes avaient envahi les bosquets et qui la rendait encore plus calme. Un rugissement se fit entendre, la faisant se figer comme une statue, près à se défendre si besoin.

La jeune femme regardait l’obscurité avec son regard mais pas seulement, son esprit lui aussi observait ce qui l’entourait, autant la faune que la flore. Au moindre bruit, elle se figeait avant de recommencer sa marche, ne sachant pas ou réellement chercher, ni même qu’elle était la forme de ce qu’elle devait chercher. Tout son corps était sur le qui vive, la forêt était dangereuse la nuit. Les grands carnivores aimaient sortir lorsque le soleil disparaissait pour chercher de quoi caller leur faim. La lune haute dans le ciel éclairait le feuillage des arbres. Cette clarté permettait à Tari d’avançait sans devoir utilisait le feu. Pas après pas, elle s’enfonçait dans la noirceur de la forêt à la recherche de la quête qu’on lui avait confié.

Tous les cinq mètres la jeune hybride m’arrête, quelque chose ne va pas ce soir. Quoi ? Tari n’arrive pas à mettre un mot dessus, même ses sens sont déboussolés. Cela l’inquiète beaucoup, ce n’était pas la première fois qu’elle allait dans la forêt en plein milieu de la nuit mais, c’était la première fois qu’elle se sentait oppressée par je ne sais quoi. Un nouveau bruit se faire entendre entre le feuillage de buisson, la femme chevalier lance de suite ses sens tout autour d’elle pour savoir ce que c’est mais, sans réellement d’avoir de réponse. Toutes ces petites choses montaient peu à peu l’adrénaline de Tari mais aussi son impression que quelque chose va mal finir d’ici quelque temps. Finalement, la jeune hybride reprend pas à pas son avancé dans les bois obscurs d’Irianeth.

La femme chevalier se figea alors que cela ne faisait pas dix minutes qu’elle avait repris sa marche. Elle ressentie un très léger picotement sur la nuque, observant ce qui l’entourait de ses yeux et de ses sens, elle chercha la cause de cela. Ce ressentie troubla Tari, il n’y avait pas de raison apparente pourtant ses sens avaient eux trouvés quelque chose. Une sorte d’appel très loin de sa position actuelle. L’hybride se demanda ce que s’était ? Un être doué de magie ? Ou peut être la pierre… Sans plus réfléchir, Tari ferme les yeux pour se concentre sur ces petites pulsions du signal, essayant de remonter jusqu’à son origine. Mais, un bruit de course fit perdre légèrement sa concentration et la femme chevalier chercha la provenance de ce raffut.

Après quelques secondes un petit lapin sort des fourrés à toute vitesse. Tari failli ce dire qu’il devait fuir la future écuyère avec laquelle, elle avait discuté l’autre jour ce qui failli la faire gloussé, la pire frayeur des lapins une gamine avide de sang ! Mais, ce ne fut pas Anora qui sorti derrière mais le prédateur bien plus gros, qui avait une petite faim. Comme si sa chance avait disparu à ce moment, ce grand carnivore ce tourna vers elle avec cette envie de lui sauter au cou et de la croquer. Tari ressentait encore le signal qu’elle avait mit si longtemps à trouver et elle ne voulait pas le perdre. Mettant dans un coin de sa tête le signal, elle se concentra sur le petit combat. Rapide et efficace, voila ce qu’elle devait faire. Sans attendre, elle se rendit invisible et grimpa dans l’arbre le plus près. Elle repéra dans quel sens était le vent et se plaça contre celui-ci afin que le prédateur ne sens pas son odeur.

Sans faire de bruit, elle sortie deux de ses couteaux à lancer et les garda contre son avant bras pour éviter les reflets de la lune. Sur son perchoir, elle observa le carnivore, ses mouvements et comment il réagissait face à la disparition de sa nouvelle proie. Tari s’assura qu’elle ressentait encore l’appel avant de lancer ses deux couteaux sur l’animal. L’un toucha l’épaule avant droite et l’autre plongea dans le flan. L’animal rugit de rage et de douleur mais, Tari ne laissa pas la chose la. Toujours sous son invisibilité, elle se laissa tomber de son perchoir pour atterrir à côté du fauve alors qu’elle prenait son poignard et elle lui enfonça une nouvelle lame dans son corps là ou devais être son cœur.