Qui va l... Oh, désolé! [Caerys][M pour Mature]

Lentement, les deux passionnés se livraient à un jeu dangereux. Chacun promène ses mains sur le corps de l'autre, lentement, avec ferveur. Le désir se fait si présent de plus en plus que les deux jeunes gens commencent à avoir de la difficulté à avoir les idées claires, à se concentrer sur autre chose. Et même tout simplement de... se contrôler. Les longs cheveux noirs de la jeune femme étaient presque totalement mouillés et collaient à son visage. Ce n'était pas de la sueur. Mais son corps bougeait un peu et un peu plus tôt, elle avait glissé et s'était retrouvée la gorge sous l'eau. Ainsi donc, Caerys avait presque totalement mouillée sa tête. La princesse héritière regardait Immehur, ayant rompue le baiser depuis quelques secondes à peine. Elle venait de murmurer ses paroles à son oreille. Et en reculant la tête, la princesse avait bien vu qu'il n'avait pas tout de suite compris. Mais il fut assez intelligent pour comprendre sa référence. Même si elle ne connaissait pas grand chose en cette matière, il y a quelques réactions que la jeune femme reconnaît. Le frisson du guerrier ne la laissa certainement pas de marbre.

Pressée contre le torse de cet homme, Caerys ne pouvait plus beaucoup bouger. Elle était en quelque sorte emprisonnée dans ses bras sans toutefois être une ''prisonnière''. La jeune femme sentit son autre main descendre lentement le long de son ventre. Peu à peu, les frissons qui la parcouraient devinrent de plus en plus violents. Sa main caressant l'intérieur de sa cuisse, elle sentit son corps se tendre un peu. Mais tout de suite il se détendit dès que les lèvres du guerrier se déposèrent contre son cou. Elle posa une main contre l'une de ses épaules et dès que ses dents entrèrent en contact avec sa peau, elle enfonça légèrement ses ongles contre la peau de son épaule sans toutefois percer sa peau. Alors qu'elle se concentrait sur ses dents qui frôlaient sa peau, Caerys sentit sa main contre son intimité. Une sensation jusque là totalement inconnue. L'héritière impériale sursauta un peu, se mordillant la lèvre inférieure. Elle se contrôlait jusqu'ici. Du moins, un peu.

Dès que le guerrier se mit à faire des mouvements avec ses doigts, caressant cette zone sensible de son corps, la jeune femme ne pouvait plus vraiment se retenir et ouvrant un peu les lèvres, un son en sorti. Un son doux, mais démontrant toutefois un plaisir profond. Caerys redresse un peu les épaules et libère celle qu'elle retient toujours du seccyeth. Lentement, ses doigts viennent décrire des cercles contre le creux de son épaule jusqu'à venir contre son torse. Le peu d'espace entre les deux jeunes gens fit dévier la trajectoire de ses doigts pour venir contre sa hanche gauche. Cette sensation était nouvelle. Cette peau complètement nue autant sous ses yeux que sous ses doigts. Ses yeux rouges qui ne cessaient d'observer et son cerveau qui analysait tout. Sa main s'arrêta au niveau de son bassin. Son corps réagissait très beau et avec plaisir même aux gestes de l'homme. Malgré l'expérience qu'Immehur a derrière lui, Caerys essaye tout de même de se montrer à une certaine hauteur des attentes. Mais... il ne faut tout de même pas s'étonner pour une femme qui est encore vierge, n'est-ce pas? Même s'il s'agit tout de même de la fille de l'Empereur.

Caerys laissa sa main glisser là où entre les deux bassins, il y avait encore une petite ouverture, là où elle pouvait glisser la main car le haut de leur corps était tout simplement pressé l'un contre l'autre. La princesse héritière mena sa main jusqu'à une zone du corps d'un homme jusque là... qui n'avait jamais été touché pour elle. Cette partie de l'anatomie qu'un homme se vante souvent de posséder. Du bout de ses doigts, elle y touche, tout d'abord pour percevoir ses réactions mais aussi les siennes - mentalement, bien entendu .- La belle continua ainsi quelques secondes avant d'y mettre complètement la main, prenant ainsi ce qu'elle était entrain de désire, dans sa main. Lentement, elle la bougea, dans un moment répétitif, mais précis. Elle y allait doucement mais le plus loin possible, profitant en même temps du touché de l'homme sur son corps.