Dis moi... [Pv Farwelle]

Farwelle n'avait pas fait grand chose de sa journée, l'approche de l'attribution hantée son esprit tout comme l'avait fait cette déprime dans laquelle il avait plongé suite au test des futur écuyers mené par Hayden, enfin même si mené n'avait pas réellement été le bon terme... Rien que d'y repenser donné des frissons au garçon qui préféra chasser cet partie de sa courte vie de son esprit. Le petit Lazuli lécha timidement l'oreille de son maître et ami. Ce dernier n'avait pas tellement poussé depuis leur rencontre et Farwelle douté légèrement que son jeune compagnon atteigne un jour la taille d'un petit renard. Mais après tout ce n'était pas plus mal car il pouvait ainsi promener son compagnon un peu partout avec lui.

Le jeune avançait dans la pénombre des couloirs. Il voulait allez dehors pour observé le soleil se coucher et pouvoir rester un peu seul sur les remparts. Il adorait ce moment de la journée car tout était calme dans le château et l'on pouvait entendre les bruits de la nuit. Le matin n'était pas du tout identique car les serviteurs été déjà en plein travail a peine le soleil levé. Alors que la nuit... Plus rien ne bouger mis à part les choses sauvages en dehors du château, les oiseaux prédateurs nocturne. Certaine fois en observant au loin près de la forêt l'on pouvait apercevoir des mouvements rapide indiquant un prédateur bien plus gros d'un oiseau.

La tête ailleurs Farwelle ne s'aperçut pas que quelqu'un d'aussi dissipé que lui approchait rapidement, il était donc inévitable que les deux se percute. Cette dernière recula et s'excusa immédiatement. Tout rougissant Farwelle fit de même et un peu sourire se mit à naître sur ces lèvres à cause de la situation, puis il se rendit compte que Lazuli avait sauté de son épaule car il été le seul à avoir été lucide a ce moment et donc à avoir réussit à évité la collision des deux futurs écuyers. Le jeune homme se pressa de récupérer son fennec et se tourna vers la belle rousse. Elle lui demanda comment il allez, faisait elle référence à sa période de déprime ? N'osant pas en reparler il décida qu'elle ne parlée pas de cela.

- Je vais bien, mis à part cette petite collision que seul Lazuli à réussi a évité visiblement. Et toi comment vas-tu ?

Farwelle ne savait pas vraiment comment dire à son amie qu'il se rendez souvent le soir sur les murailles pour observé la nuit, elle allez le prendre pour quelqu'un de déranger...

Naïla rit doucement à la remarque de son camarade à propos du petit fennec. D’ailleurs, cela faisait rappeler à la fée qu’elle n’avait pas vérifiée si Drystan la suivait ou s’il était resté dans les cuisines pour s’empiffrer de n’importe quoi. Depuis peu, le petit animal avait un appétit vorace. Elle se retourna donc pour regarder derrière elle au sol : le petit fennec roux était bien là. Naïla soupira de soulagement. Elle qui aimait tant les animaux, comment pouvait-elle être aussi négligente face à son Drystan! La fée se réprimenda intérieurement, mais elle reprit vite sur elle-même, se souvenant qu’elle n’avait point répondu à la question de Farwelle.

-Heu, ça va, merci, répondit-elle, rougissant et passant une main sur sa nuque.

Et elle lui sourit bêtement. Naïla ne savait pas vraiment comment aborder le sujet de l’adoubement et lui parler de son angoisse face à cet évènement. Elle se pencha et prit Drystan dans ses bras. Elle serra l’animal contre elle et enfouit son nez dans son pelage roux-beige. Par-dessus les grandes oreilles du fennec, la fée regarda Farwelle. Naïla releva la tête et demanda :

-Si ce n’est pas indiscret de ma part, tu t’en allais où, avant qu’on entre en collision? Elle hésita avant d’ajouter : J’aimerais bien t’accompagner, si tu veux bien sûr!

Puis elle attendit sa réponse. La fée essayait toujours tant bien que mal de se convaincre de se confier à Farwelle. Il devait sûrement être anxieux lui aussi pour l’adoubement. Et le fait de dire ce qui lui pesait sur le cœur ne ferait que l’aider.