La frousse [PV: Elyane]

Je dormais tranquillement dans la forêt. Oui, je mi étais poser pour être tranquille, ne pas être déranger. Je dormais après m’être dépensé. Et oui, à mon âge on a besoin de bouger. Douze ans et sur actif. Enfin non, la j’étais plutôt en mode, je dors et rien ne me dérangeras. Du moins c’est ce que je pensais. Nous étions en fin de journée lorsque je sentis quelque chose de froid se glisser sur ma jambe. Je me réveillais brutalement. Ce contact, je le connaissais. Les écailles. Je baissais les yeux vers mon pantalon et vis la silhouette d’un serpent. Tranquillement, celui-ci passa sa tête pars un troue me regarda quelques secondes, j’étais pétrifié de peur et il devait le sentir. Oui, il le sentait. Sa petite langue malsaine ce tirait vers moi comme si j’étais sa proie. Brusquement je me relevais courant vers la sortie de la forêt. Le serpent retourna dans mon pantalon s’enroulant autours de ma jambe et mordit. Sans doute voulait-il que je m’arrête, sans doute avait-il lui aussi peur. Je hurlais de douleur alors que le venin pénétrait dans mes veines continuant de courir.

Oui, les serpents, je les détestais, j’en avais peur, une peur presque malsaine. Une peur incontrôlable puisque lorsque j’en voyais un, je partais en courant. Et la il était sur moi. Mais cela ne ce limitait pas aux serpents, c’était pour tout les reptile. Avec leurs corps froid et écailleux. Leurs manies de bouger d’un seul coup et de surprendre tout ce qui les entoure. Leurs manies de tirer la langue. Une langue si dégueulasse. Ce qui faisais que je courrais le plus vite que je pouvais. Je sentais le serpent bouger espérant qu’il allait s’en aller. Je n’osais pas le toucher, non, plutôt mourir que de toucher le serpent. Je hurlais pour avoir de l’aide et trébuchais lamentablement tombant dans un troue.

Je grimaçais, sonné. Je me rassis appuyé contre le bord du troue lorsque trois lézard me tombèrent sur la tête. Je hurlais. Un serpent et des lézards, rien de pire pour moi. Je hurlais à plein poumon tentant de sortir de se troue de malheurs. Avec désespoir j’agrippais un tronc d’arbres. Noire, froid…. Écailleux. Le tronc bougea et je vis apparaître une tête muni de croc, une langue de serpent sortant de la gueule de se dernier. Brusquement, je lâchais le serpent que j’avais confondue avec un tronc et reculais de l’autre coter du troue. Je hurlais de plus belle paniqué par cette situation plus qu’invraisemblable. Tant de serpent et de lézard. Plus jamais la forêt, plus jamais.

Je pensais que j’allais me faire manger. Que j’allais disparaître de ce monde, comme sa, sans pouvoir rien faire. Les reptiles sont des choses horribles, des animaux que je ne peux supporter. Oui, je les déteste depuis fort longtemps. Enfin de mon point de vue puisque je suis encore jeune. Du plus loin que je me souvienne j’avais toujours eu peur des reptiles. Des bêtes à écaille. Il n’y avait rien de pire que sa. Quelque chose, ou plutôt quelqu’un me souleva me sortant de ce piège. Infâme et m’emmena plus loin. Peu à peu j’arrêtais de crier. Elle me posa sur le sol et je levais les yeux sur son visage. Je l’avais déjà vue, tout les élève l’avait déjà vue. La chevalier. Elyane si je me souvenais bien. Elle me demanda comment j’allais. Question à la noix. Elle m’avait vue hurler de peur juste avant. De plus, pour moi ce n’était toujours pas finit, il y avait encore ce serpent, celui qui m’avait mordue et qui était toujours enrouler autours de ma jambe sous mon pantalon. Comme par hasard, le pire endroit possible. Et j’étais pas prêt d’aller le chercher par moi-même. Pas avant quelque siècle. Je répondis donc d’une voix apeuré et hésitante.

-Y-a un s-serpent qui ma mor-mordue et qui est encore dans mon pantalon.

Une larme coula sur ma joue et je fermais les yeux. Un réveil horrible, totalement horrible. Sans parler de cette rencontre qui n’était pas celle que j’aurais pu espérer. Certe cela serait d’une bonne aide. Mais désormais, j’allais passer pour un incapable notoire qui avait peur pour pas grand-chose. Cela pouvait paraître comique, surtout si j’étais un adulte. Mais je n’avais que douze ans, à peu près. Et à mon âge il est pour moi normal d’avoir peur de certaine chose, d’avoir ses propres craintes et ses problèmes. Et moi j’en avais beaucoup. Je rouvris les yeux et regardais la chevalier. C’était une des seules qui avait de la couleur. Oui, De magnifique et long cheveux rouges. D’après ce que je pouvais voir, elle possédait une peau plutôt claire tout comme ses vêtements. Au moins elle, elle avait de la couleur, cela me changer de tout ce qui m’entourait.

[PS: désolé pour la taille je ferais mieux la prochaine fois]