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 The First Journey

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Mehur

Mehur

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MessageSujet: The First Journey   The First Journey I_icon_minitimeMar 18 Juin - 4:24

[Avant de commencer... Ceci sera une oeuvre littéraire relatant la vie de James Tiberius Hook avant la traîtrise de son Sharpedo et la merde de sa main droite. Ce sera donc remplie de violence, de grossièreté, de méchanceté et tout le tralala. Si vous avez le coeur sensible, ne lisez pas. Ce n'est pas parce qu'il y aura aussi un peu d'humour que vous allez apprécier. Je répète : Violence - Langage Vulgaire - Sexualité. En gros 18+. La lecture des messages qui suivent est laissée à la discrétion des lecteurs.]


THE FIRST JOURNEY
Tales of Captain James Tiberius Cook

Introduction/Prologue

James Tiberius, avant de s'appeler lui même "Hook" suite au remplacement de son moignon par un crochet, se nommait en fait "Cook". Le changement ne fut pas des plus traumatisant comme vous pouvez constater. Enfin, il y a fort longtemps, alors que le traître Sharpedo était encore un Carvanha loyal ainsi que l'unique Pokémon de James, ce dernier n'était pas un Pirate, mais un ANIn. Vous vous demandez sans doute ce qu'est un ANIn. Bien, c'est un Agent Naval International. Ces agents de la paix oeuvre sur les mers et les océans afin de faire régner l'ordre et la justice. Comme tout représentant des forces "policières" internationales, ils sont en contacte avec l'Union International des Ligue Pokémon et à travers celle-ci, avec chacune des Ligue régissant les différentes régions du Monde. Génial vous me dites... Pas tant que ça.

De ce temps, notre homme n'était pas plus méchant que son voisin, et il ne portait pas vraiment la rancoeur. Posté dans les eaux régionales de Hoenn, il voyait à ce que rien n'arrive qui transgresserait les règles établit par la Ligue de Evergrande. Leur base était établit du l'une des nombreuses petites île non loin d'Atalanopolis. De là ils pouvaient patrouiller efficacement les canaux les plus empruntés. Tout allait bien. Le Capitaine était sympas et les collègue aussi. Les dresseurs eux était respectueux et aucun nuage noir ne planait à l'horizon. Pour voir le nuage arriver, il fallait regarder derrière.

Sans prévenir (évidemment hein sinon c'aurait pas été aussi "bien"), le Capitaine des ANIns de la base de Hoenn trahit toute sa division, ainsi que le reste des ANIns. En faits, les seuls qu'il ne poignarda pas furent ceux qui osèrent le suivre. L'homme en question détruisit la base, non sans prendre l'équipement, et disparu avec une bande de bandit. On raconte qu'ils sont ensuite devenu un bande très connus de la région et même d'ailleurs. James voulut annoncer ses supérieurs, mais son Capitaine avait amener l'équipement pour une simple et bonne raison : Continuer d'envoyer des rapport à l'Agence. C'est donc sans crédibilité que Tiberius dénonça son ancien supérieur. Il fut alors discrédité de l'Agence pour insubordination et trahison. Il savait pourtant... c'est lui qui avait raison.

C'est encore jeune et malléable que Cook perdit son emplois. Ce qui lui restait, c'était de se recycler. Oui, mais en quoi? Aucune agence de type policière ne voudrait de lui avec son dossier maintenant et un vie calme loin de la mer lui semblait un idée débile. Il pensa devenir dresseur, accompagné de son Carvanha. L'idée était bonne, il aurait surement pu aller loin, capturant d'autre Pokémon et défiant la Ligue de la région. Le destin en voulu pourtant autrement.

Alors qu'il réfléchissait à sa vie au fond d'une auberge de Pacifiville en contemplant le vide de sa bouteille de rhum, le jeune James fut témoin d'un évènement qui changerait sa vie du tout au tout. Débarquant de bateau tirer par de puissants Pokémon Eau, une bande d'homme et de femme armées saccagèrent la ville flottante. Les habitants déjà pauvres furent sommé de donner tout ce qu'ils possédaient et qui avait de la valeur aux yeux des pillards. Dans sa stupidité de saoulon, l'ex-ANIn se faufila sur l'une des embarcation avant la fin du raid et s'endormit quelque part dans la cargaison de richesses.




THE FIRST JOURNEY
Tales of Captain James Tiberius Cook

Chapitre 1:
Birth of a Pirate

Le lendemain, à l'aurore, James fut réveillé par les marins qui s'affairaient sur l'embarcation dont il était le passager clandestin. Personne ne semblait l'avoir remarqué. Il pu donc profiter de son statut incognito pour s'étirer et se rendre compte de sa gueule de bois. Après un moment, il quitta son lit de fortune et alla sur le pont. Sa présence à bord n'avait toujours pas été remarquer : Tous les membres d'équipages étaient occupés à leurs tâches respectives. Complètement absorbé, mais habitué, aucun d'eux ne lui foncèrent dedans, opérant comme des machines dans des conditions... spéciales. Regardant au delà du navire, Tiberius vit l'océan, et encore plus loin, la terre. Ils étaient sacrément loin. Il était sacrément loin.

Prenant quelques grande bouffé de l'air salins pour se remettre de sa gueule de bois, James se retourna ensuite pour rechercher l'officier naval du navire. Il n'osa pas demander à l'un des marins, ne voulant pas déranger leur travail. Heureusement, il n'eut pas à chercher longtemps, puisqu'il fut trouvé d'abord. Un homme habillé étrangement proprement en contraste aux autres hommes et femmes s'adressa à Cook.


- Hey toi ! Cesse de fainéanter, ce n'est pas une croisière de plaisance ici ! Au travail !

Surpris et pas tout à fait remis, James trouva rapidement une vadrouille qui traînait et se mis à laver le pont. Il avait fait ça toute son adolescence, avant d'être officiellement embauché. C'était devenu presque naturel chez lui, de nettoyer le pont d'un navire. Cependant, il ne vadrouilla pas longtemps. L'homme aux riches habits revint sur son cas.

- Attends un peu !

Il sauta alors du pont supérieur jusqu'au pont principal sur lequel Tiberius était et ferma la distance entre eux deux. Il regarda ensuite le passager clandestin de haut en bas et de bas en haut avant de se gratter le mentons.

- Je n'me souviens pas t'avoir embauché dans mon équipage, moussaillon ! Quel est ton nom?

L'homme, apparemment le capitaine, ne semblait pas offusqué de la présence d'un clandestin à bord. En faits, il semblait prendre Cook pour l'un des siens. Pris au dépourvu, le jeune ex-ANIn répondit nerveusement.

- James Cook... James, Tiberius, Cook. Je...

- Tut ! Pas besoin de longue phrase avec moi mat'lot. J'veux pas non plus savoir qui t'as changé les couches.... Enfin, façon de parler, parce que si c'est un jolie femme.... Enfin, j'm'écarte! Bienvenue à bord, James Tiberius Cook!

Avant même que le jeune homme puisse répliquer, le Capitaine s'était retourner pour reprendre place sur le pont supérieur. James l'observa un moment. Cet homme avait un charisme indéniable et une assurance contagieuse. C'était visiblement un leader, un vrai. Alors que le nouveau matelot était en admiration, l'officier tomba à nouveau sur son cas.

- Oy ! Je suis le Capitaine Henry Morgan en passant! Maintenant, au travail !

Sur ces mots rudes, mais plein d'autorité, un drôle d'oiseau vint se poser sur l'épaule de Morgan. Le Pokémon volant était très coloré et sa tête avait la forme d'une note de musique. Ou alors les notes de musique avait la forme de sa tête. Bleu, jaune et vers, l'oiseau se mit à chanter pendant que Tiberius se remettait au boulot. Bientôt, le chant de l'oiseau fut accompagné par celui du capitaine et les réponses des hommes et femmes du navires.




THE FIRST JOURNEY
Tales of Captain James Tiberius Cook

Chapitre 2:
A Pirate's Life For Me !

James commençait à s'habituer à sa nouvelle vie en mer. Depuis qu'il avait quitté l'Agence, il ne s'était pas sentit aussi confortable. Il était peut-être réduit à frotter le pont et autre tâches ingrates toute la journée, mais ça ne ressemblait plus à un tâche. En faits, le travail était toujours accompagné de chansons. Cela rendait le tout étonnamment agréable.

D'un autre côté, la terre commençait à manquer au marin et cela se sentait dans sa manière de manier la vadrouille ou la brosse. C'est là, au milieu de la journée, qu'un des matelots vint lui parler, ou plutôt l'informer de quelque chose.

- Le Capitaine veut'voir.

C'était court, clair, précis. Tiberius se mit donc en route pour les quartiers de Morgan, sachant qu'il n'était pas à la barre. Il n'y était encore jamais aller et il ne savait donc pas à quoi s'attendre.

Un fois passé la porte double qui menait au pont, l'homme se retrouva dans ce qui semblait être le bureau du capitaine. Il y avait là une table avec un carte complète des mers environnantes. À l'opposé de la porte se trouvait un grand siège sur lequel Henry devait s'asseoir afin d'écrire, de manger et qui sait quoi d'autre. À droite il y avait une bibliothèque avec plusieurs ouvrages en papiers. Ajoutant cela au navire en bois, ça montrait bien le budget limité des pirates. Le mur de gauche était occupé par un buffet bondé d'objets inusité et de trophée. Au fond, toujours à gauche, un escalier menait à la chambre du Capitaine et certainement sa salle de bains. C'est par cet escalier que le loup de mer se montra.

Comme toujours, le capitaine portait ses vêtements hautement différent de ceux du reste de l'équipage. Alors qu'ils lui donnaient l'allure d'un riche excentrique, l'équipage ressemblait à une bande d'ouvrier de bas étage, presque sale. En cette journée, Morgan avait favorisé son manteau bleu, orné de fil d'argent. Son pantalon et sa chemise était plus neutre, respectivement noir et blanche. Sa barbe et sa moustache étaient toutes deux taillée avec précision. Ses yeux azure, en accord avec le manteau, fixèrent le jeune matelot.

- James, excellent, tu es là.

L'homme alla prendre place à son bureau, invitant Tiberius à s'asseoir dans l'un des fauteuils lui faisant face. Ce qu'il avait à dire aller être soit long, soit choquant, ou peut-être les deux.

- Dis-moi, tu te souviens du jour où tu es apparu sur mon navire? Enfin, te souviens-tu de la nuit qui précéda ton intégration à l'équipage?

Le souvenir déferla dans l'esprit de James comme si cela avait été la veille. Sur le moment il avait été trop saoul pour son propre bien, mais quelque chose dans la scène l'avait toujours fasciné et chaque détail restait vivant. L'équipage de Morgan, hommes, femmes et Pokémon, saccageait Pacifiville. Il y avait des vols, des viols et des meurtres. Enfin, surtout les deux premiers. Il aurait été mauvais pour les affaires de tuer trop de gens. Le feu devait avoir fait le plus de victime. Si ce n'était des morts, c'était des blesser à vie.

Voyant que le jeune matelot se perdait dans la contemplation de ses pensées, le Capitaine le ramena.

- Oui, bien sûr que tu t'en souviens. La question serait plutôt, es-tu prêt à t'impliquer à cent pour cent dans cet équipage? Dis-moi, Cook, es-tu prêt à être un pirate?

L'emphase appliqué sur le dernier mot affecta le jeune marin. Il était à peine un homme. Petit, il avait rêver de pirates et de trésors. Ensuite, il avait voulu être ce qu'il y avait de plus prêt et rejoint l'Agence Navale Internationale. Puis, il y eut trahison. Ensuite, il y eut beaucoup d'alcool et un drôle de hasard. Maintenant, on ne lui proposait pas de faire respecter les lois maritimes ou de frotter le pont avec une vadrouille. On lui demandait de participer à un raid.

Contemplant quelque seconde la question, la réponse de Tiberius vint ensuite clair et concise.

- Oui.


***



Le soleil était couché depuis longtemps, les moteurs étaient coupés. Seul le doux bruit des vagues se laissait entendre. Haut dans le ciel, seul la lune permettait aux flibustiers d'y voir quelque chose, toutes autres lumières étant éteintes. Au loin, parce que c'était encore loin, scintillait les lumières de navigation d'un navire marchand. La flottille était en trajectoire d'interception, tractée par d'utiles Pokémon Eau. Il n'y avait plus qu'à attendre et le silence noir de la nuit laisserait place au bruit argenté du combat. Mais diable que c'était long.

James ne s'en pouvait plus. Henry lui avait fournis un pistolet et un sabre en prévision de la bataille. On ne faisait pas dans la finesse ou la discrétion. Le pistolet était du type efficace. Bien qu'il était possible d'y mettre un silencieux, il n'y en avait pas. Par le temps que les loups de mers tirerait leur premier coups, leur présence serait connues de tous. Le sabre quant à lui était flamboyant. Sa couleur rouge unique ne lui était pas attribué au sang de ses victimes passé, mais plutôt au fait qu'il était forgé à partir d'une plume de Skarmory. Une fine lame, et solide en plus.

Le garçon vérifiait sont équipement une énième fois, lorsqu'un main sympathique vint se placer sur son épaule.

- Hey, calme toi. Ça va aller.

La main appartenait à Manfred. Tiberius le connaissait comme étant le cuistot du navire du capitaine. C'était un homme plutôt grand, mais surtout large à la peau grillé. Une odeur de poisson se dégageait sans cesse de lui, mais étrangement ce n'était pas du tout dérangeant. Peut-être à cause de son regard doux et rieur. Pour ce soir, il avait échanger son tablier taché pour une chemise ample, ceinte à l'abdomen par un large bande rouge sur laquelle étaient gaînés nombre de poignard.

- Tu verras, le nouveau, une fois que c'est commencé on ne voit plus le temps passé. Puis, si c'est des remords que t'as, dis toi cela : Les gens à qui sont destinés les trucs sur ce rafiot ne les mérite pas. On parle ici de riche fonctionnaire qui ne savent pas ce qu'est une journée de dure labeur ou même ce qu'est la sueur. Nous, nous on travail, on sait ce qu'est la sueur. On a tous, enfin la plus part, un passé difficile. Toi je sais pas, je te connais pas encore. Eux de l'autre main, ils nagent dans la facilité depuis qu'ils sont en couches... Oh regardes-moi à parler comme ça, ça commence !


Ça y était. La flottille pirate avait encerclé le cargo. Cordages et échelles étaient lancés sur la cible afin que hommes et femmes puissent grimper à bord. Il n'y avait pas de gardes armés sur le pont, ni même ailleurs sur le bateau. Il n'y avait que l'équipage, sans défense. Le premier à mourir était la vigile de nuit. Il eut à peine le temps de prononcer une syllable avant qu'un tir d'arme à feu ne le fasse taire. Alors qu'il s'écrasait sur le pont maintenant sali de son sang, des dizaine de cris de guerre s'échappèrent de la marée de pirates.

Rapidement, nombre d'entre eux allèrent s'assurer que l'équipage ne jouerait pas au héros. La plupart était encore dans les cabines à dormir. Ainsi, alors qu'un groupe allait dans la cale, l'autre s'occupait des ronfleurs. Ils ne tueraient que ceux tentant de s'échapper. C'était un ordre de Morgan. Un raid en mer n'était pas le moment de piller et violer à la va-vite. C'était le moment de faire du profit.

Il y avait aussi un troisième groupe, celui dans lequel était James, Manfred et même le Capitaine des flibustiers. Ce dernier groupe s'occupait de la passerelle du cargo. Là où le capitaine marchand et le navigateur serait. Ils n'étaient qu'une poignée et ils n'avaient pas besoin d'être plus. Leur but dans ce raid c'était d'arracher le code des caches de la bouche des hommes à bords. Il serait futile de voler la cargaison si il était ensuite impossible d'ouvrir les caisses.

Dès leur entrée en scène, les loups de mers pointèrent pistolet et couteaux de lancer vers les hommes de la passerelle. Ces dernier n'étaient cependant pas sans ressources, pointant leur propres armes vers les assaillants. Impasse mexicaine. Si quelqu'un bouger, il y avait beaucoup de mort. Il fallait tenter de désamorcer cette situation autrement que par le sang pour une fois.

Jeune et inexpérimenté, Tiberius tenait son pistolet à deux mains afin de faire cesser le tremblement, sans succès. Manfred aurait bien poser sa grosse main d'ours jovial sur l'épaule du garçon, mais il tenait des couteaux dans chacune d'elles. La suite serait certainement au plus grand soulagement du jeune Monsieur Cook.

Abaissant ses deux pistolets Henry avança d'un pas. Le reflexe du marchand fut de pointer vers lui son arme. Morgan rangea les siennes et leva les mains. Innoffensif peut-être.

- Messieurs, pourquoi ne réglerions-nous pas cette situation avec des mots plutôt que des armes?

-Vos hommes ont massacré mon équipage !

- Oui, j'en convient. C'est un fait regrettable, mais nous devons tout faire pour survivre. Il n'est pas aisé de manger lorsque la société nous rejette.

- Vous vous faites des excuses ! Vous n'êtes qu'un monstre ! cria le capitaine en assurant sa prise sur son arme.

Tout de suite, tous les pirates présent firent de même, ainsi que les quelques marchand. Tous sauf James, qui luttait pour ne pas perdre son sang froid.

- Allons, baissez vos armes, pas besoin de plus d'hostilité.

Voyant que personne n'osait baisser l'arme avant l'autre, Morgan répéta.

- J'ai dit baissez vos saloperie d'armes, c'est un ordre !

Tous les hommes de Henry s'exécutèrent, bientôt suivit des marchands même si leur propre capitaine n'avait pas donné l'ordre. L'homme au manteau bleu, le Capitaine Henry Morgan. Ce charisme, n'était pas ordinaire. Pour que même l'ennemi accepte de cesser les hostilités, c'était un exploit.

- Bien. Mieux. Maintenant, et si on discutait de tout ça, laissa-t-il tomber de nouveau calme alors qu'il joignait ses mains ensemble.

Penser que ce n'était qu'un geste était folie. L'équipage savait. Au poignet du capitaine se trouvait un émetteur d'ultrason. En joignant ses mains, il venait de l'activer. Ces ondes se propageait maintenant, jusqu'à atteindre la mer sous le navire. Là où une quantité importante de Pokémon Eau n'attendait que ça. Sans avertissement, ils frappèrent. Gyarados et Tentacruel, Sharpedo et Blastoise. Le bateau était à leur merci. Les hommes de la passerelle ne purent rien lorsque les tentacules agiles d'un énorme spécimen de Tentacruel les agrippèrent. Tous furent tirer à l'extérieur, ne laissant que les pirates sur la passerelle.

- Nelson, regarde dans la console pour retirer toutes les infos possible, les autres venez avec moi !

Sur ce, le capitaine retourna sur le pont, suivis de James, Manfred et des autres.
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